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Imposition des dividendes : tout savoir

29/04/2025
Jérôme Benaïnous

Comprendre l'imposition des dividendes est essentiel lorsque vous investissez ou gérez une entreprise en France. Saviez-vous que les dividendes sont soumis à une double imposition? En effet, ils sont d'abord taxés au niveau de la société, puis au niveau des associés.

La fiscalité des dividendes peut être complexe avec plusieurs options à considérer. Vous pouvez notamment choisir entre un prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30% ou opter pour le barème progressif de l'impôt sur le revenu qui permet de bénéficier d'un abattement de 40%. Par ailleurs, certaines sociétés dont le chiffre d'affaires est inférieur à 10 millions d'euros peuvent bénéficier d'un taux imposition dividendes réduit à 15% pour les premiers 42 500 € de bénéfices. Ainsi, comprendre les différentes règles de taxation des dividendes vous permettra d'optimiser votre situation fiscale tout en respectant la législation en vigueur.

Sommaire

Comprendre ce qu’est un dividende et quand il est distribué

La fiscalité des dividendes commence par la compréhension même de ce qu'est un dividende. Avant d'aborder les aspects techniques de l'imposition, il est nécessaire de maîtriser les fondamentaux de ce mécanisme financier qui concerne tant les actionnaires que les dirigeants d'entreprise.

Définition d'un dividende et origine des bénéfices distribuables

Un dividende représente une part des bénéfices d'une société qui est versée aux actionnaires. En d'autres termes, c'est une rémunération du capital investi dans l'entreprise. Chaque actionnaire reçoit une somme proportionnelle au nombre d'actions qu'il détient dans la société.

Les bénéfices distribuables proviennent principalement du résultat net de l'exercice fiscal, après déduction de l'impôt sur les sociétés. Toutefois, ils peuvent également provenir de:

  • Réserves constituées lors des exercices précédents
  • Report à nouveau positif (bénéfices non distribués des années antérieures)
  • Primes d'émission, de fusion ou d'apport

Pour qu'un bénéfice soit distribuable, la société doit préalablement constituer une réserve légale équivalente à 5% du bénéfice annuel, jusqu'à atteindre 10% du capital social. Par ailleurs, si la société a enregistré des pertes antérieures, celles-ci doivent être apurées avant toute distribution.

Les dividendes sont généralement versés en numéraire, mais peuvent parfois être distribués sous forme d'actions, on parle alors de "dividendes en actions". Dans ce cas, l'imposition dividende reste applicable, même si aucune somme d'argent n'est versée directement.

Décision de distribution en assemblée générale

La distribution des dividendes n'est pas automatique, même lorsqu'une entreprise réalise des bénéfices. Cette décision relève exclusivement de l'assemblée générale ordinaire des actionnaires (AGO), qui se tient généralement dans les six mois suivant la clôture de l'exercice.

Le processus se déroule généralement comme suit:

  1. Le conseil d'administration ou le directoire propose un montant de dividende par action
  2. Les actionnaires votent cette proposition lors de l'AGO
  3. Si la proposition est approuvée, la mise en paiement intervient dans les neuf mois suivant la clôture de l'exercice

Durant l'assemblée générale, plusieurs informations cruciales sont déterminées:

  • Le montant total des dividendes à distribuer
  • La date de détachement du dividende (ex-date)
  • La date d'enregistrement (record date)
  • La date de paiement effectif

Ces dates sont importantes car elles déterminent qui sera bénéficiaire des dividendes et quand le taux imposition dividendes s'appliquera. Généralement, vous devez détenir les actions avant la date de détachement pour percevoir le dividende.

Différence entre dividendes et rémunération

Il est essentiel de distinguer les dividendes des autres formes de rémunération, notamment pour comprendre les implications fiscales. Voici les principales différences:

CaractéristiqueDividendesRémunération (salaire)
NatureRémunération du capitalRémunération du travail
RégularitéVariable, non garantieGénéralement fixe et régulière
DécisionCollective (assemblée générale)Contractuelle ou unilatérale
FiscalitéPFU à 30% ou barème progressif avec abattement de 40%Barème progressif de l'impôt sur le revenu
Charges socialesPrélèvements sociaux à 17,2%Cotisations sociales environ 45%

Pour les dirigeants de petites sociétés, notamment les SARL et SAS, la question de privilégier le dividende impot sur le revenu ou la rémunération est souvent stratégique. En effet, le choix entre se verser un salaire ou des dividendes a des conséquences importantes sur la taxation des dividendes et la protection sociale.

Contrairement au salaire, les dividendes ne donnent droit à aucune protection sociale (retraite, chômage, etc.) pour les actionnaires non dirigeants. Cependant, pour les TNS (travailleurs non-salariés), comme les gérants majoritaires de SARL, les dividendes peuvent être soumis à cotisations sociales sous certaines conditions, comme nous le verrons plus loin.

Ainsi, la compréhension de ce qu'est un dividende et de son mécanisme de distribution constitue le socle sur lequel repose toute la fiscalité des dividendes. Ce n'est qu'après avoir clarifié ces notions fondamentales que vous pourrez appréhender efficacement les enjeux fiscaux associés aux revenus de vos placements en actions.

Étapes fiscales de l’imposition des dividendes

Le parcours fiscal des dividendes suit un chemin bien défini en France. Une fois la décision de distribution prise, plusieurs étapes administratives et fiscales s'enchaînent avant que vous ne receviez effectivement vos revenus.

Prélèvement forfaitaire non libératoire (PFNL) à 12,8 %

Dès leur versement, vos dividendes font l'objet d'une première ponction fiscale. En effet, l'établissement qui vous verse ces revenus prélève automatiquement à la source 12,8% du montant brut au titre du Prélèvement Forfaitaire Non Libératoire (PFNL). Ce prélèvement constitue un acompte d'impôt sur les dividendes, et non l'imposition définitive.

Parallèlement, l'établissement payeur retient également les prélèvements sociaux au taux global de 17,2%, qui se décomposent ainsi :

  • CSG : 9,2%
  • CRDS : 0,5%
  • Prélèvement de solidarité : 7,5%

Ainsi, sur 1 000 € de dividendes bruts, vous êtes prélevé immédiatement de 128 € au titre du PFNL et de 172 € au titre des prélèvements sociaux. Vous percevez donc 700 € nets.

Néanmoins, vous pouvez demander une dispense de PFNL si votre revenu fiscal de référence est inférieur à certains seuils :

  • 50 000 € pour une personne seule
  • 75 000 € pour un couple soumis à imposition commune

Pour bénéficier de cette dispense, vous devez adresser une attestation sur l'honneur à l'établissement payeur avant le 30 novembre de l'année précédant celle du versement.

Déclaration via le formulaire 2777-SD par l'établissement payeur

L'établissement qui verse les dividendes (banque, société distributrice) joue un rôle crucial dans la chaîne d'imposition dividende. Il doit notamment accomplir plusieurs formalités administratives.

Premièrement, il doit déclarer le montant des dividendes versés et des prélèvements effectués via le formulaire 2777-SD, à déposer auprès du service des impôts des entreprises compétent. Cette déclaration doit être effectuée dans les 15 premiers jours du mois suivant celui du paiement des dividendes.

Par ailleurs, l'établissement payeur doit reverser simultanément au Trésor Public les sommes prélevées au titre du PFNL et des prélèvements sociaux. Aucun retard n'est toléré pour ces versements, sous peine de majorations et d'intérêts de retard.

En outre, l'établissement payeur est tenu d'informer les bénéficiaires des dividendes du montant des sommes versées et des prélèvements opérés, généralement au moyen d'un relevé de compte ou d'un document spécifique (IFU - Imprimé Fiscal Unique).

Versement des dividendes et rôle de l'établissement financier

Le processus de versement des dividendes implique plusieurs acteurs et étapes techniques que vous devez connaître pour comprendre pleinement la fiscalité des dividendes.

Après la décision de distribution par l'assemblée générale, la société émettrice mandate un établissement financier (souvent sa banque teneur de compte) pour effectuer le paiement des dividendes aux actionnaires. Ce versement intervient à la date de paiement communiquée lors de l'assemblée générale.

Pour les actions cotées en bourse, le versement suit généralement ce calendrier :

  1. Date de détachement : jour où l'action commence à se négocier sans le dividende
  2. Date d'enregistrement : jour où l'on détermine qui est propriétaire des actions
  3. Date de paiement : jour où les dividendes sont effectivement versés

L'établissement financier joue également un rôle d'intermédiaire fiscal. En effet, il collecte auprès de l'actionnaire les informations nécessaires à l'application correcte du taux imposition dividendes. Il doit notamment vérifier si vous avez demandé une dispense de prélèvement forfaitaire et s'assurer que vous remplissez bien les conditions requises.

Enfin, cet établissement est responsable de la transmission à l'administration fiscale des informations relatives aux dividendes versés, notamment via la déclaration IFU (Imprimé Fiscal Unique). Ces informations sont ensuite pré-remplies sur votre déclaration de revenus annuelle, facilitant ainsi vos obligations déclaratives pour le dividende impot sur le revenu.

Choisir entre PFU et barème progressif pour l’impot sur les dividendes

Après les prélèvements initiaux, vous devez choisir entre deux régimes pour l'imposition dividende définitive. Ce choix détermine directement le montant que vous conserverez réellement de vos dividendes.

Fonctionnement du prélèvement forfaitaire unique (PFU) à 30 %

Le prélèvement forfaitaire unique (PFU), aussi appelé "flat tax", constitue le régime par défaut pour la taxation des dividendes depuis 2018. Ce dispositif simplifie considérablement la fiscalité en appliquant un taux global unique de 30% sur vos revenus de capitaux mobiliers, qui se décompose ainsi:

  • 12,8% au titre de l'impôt sur le revenu
  • 17,2% au titre des prélèvements sociaux

Avec le PFU, le prélèvement de 12,8% effectué à la source (PFNL) devient libératoire, ce qui signifie qu'il constitue votre impôt sur les dividendes définitif. Par conséquent, sur 1 000 € de dividendes bruts, vous payez exactement 300 € d'impôts et prélèvements sociaux, conservant ainsi 700 € nets.

Ce régime présente l'avantage majeur de sa simplicité: pas de calcul complexe, pas d'abattement à appliquer, simplement un taux fixe quels que soient vos autres revenus.

Application du barème progressif avec abattement de 40 %

Alternativement, vous pouvez opter pour l'imposition au barème progressif de l'impôt sur le revenu. Dans ce cas, vos dividendes bénéficient d'un abattement de 40% avant d'être soumis aux tranches suivantes:

Tranche de revenuTaux d'imposition
Jusqu'à 10 777 €0%
10 778 € à 27 478 €11%
27 479 € à 78 570 €30%
78 571 € à 168 994 €41%
Au-delà de 168 994 €45%

Avec cette option, le PFNL de 12,8% prélevé à la source devient un simple acompte. Il sera déduit de votre impôt final ou remboursé si votre taux d'imposition réel est inférieur.

Les prélèvements sociaux de 17,2% restent quant à eux définitifs, quelle que soit l'option choisie.

Critères pour opter pour l'un ou l'autre régime

Pour choisir le régime le plus avantageux pour votre fiscalité des dividendes, plusieurs facteurs entrent en jeu:

  • Votre tranche marginale d'imposition: si votre taux marginal est inférieur à 12,8%, le barème progressif sera généralement plus favorable
  • Le montant de vos dividendes: plus ils sont élevés, plus la flat tax peut devenir intéressante
  • Vos autres revenus imposables: ils déterminent votre tranche marginale globale

Ainsi, si votre revenu imposable vous place dans la tranche à 11%, l'option pour le barème progressif vous permettra de bénéficier d'un taux imposition dividendes de 6,6% (11% après abattement de 40%), bien inférieur aux 12,8% du PFU.

En revanche, si vous êtes dans les tranches à 41% ou 45%, le PFU à 12,8% sera presque toujours plus avantageux, même avec l'abattement de 40%.

L'option pour le barème s'applique à l'ensemble de vos revenus de capitaux mobiliers et plus-values de l'année. Elle s'effectue lors de votre déclaration de revenus et n'est pas rétroactive, nécessitant donc une analyse préalable attentive de votre situation fiscale globale.

Déclarer les dividendes dans la déclaration de revenus

La dernière étape de l'imposition dividende consiste à les déclarer correctement sur votre déclaration de revenus annuelle. Cette procédure, bien que technique, est cruciale pour éviter tout redressement fiscal.

Utilisation des cases 2DC, 2OP et 2CK du formulaire 2042

Pour déclarer vos dividendes, plusieurs cases du formulaire 2042 doivent être complétées avec précision :

  • Case 2DC : indiquez le montant brut des dividendes perçus, avant prélèvements
  • Case 2CK : reportez le montant du prélèvement forfaitaire non libératoire de 12,8% déjà versé[184]
  • Case 2OP : à cocher uniquement si vous optez pour l'imposition au barème progressif plutôt que le PFU[184]

Si vous choisissez le barème progressif, vous devrez également renseigner :

  • Case 2BH : montant des dividendes soumis aux prélèvements sociaux avec CSG déductible

En revanche, si vous préférez le PFU, utilisez :

  • Case 2CG : montant des dividendes soumis aux prélèvements sociaux sans CSG déductible

Par défaut, sans case 2OP cochée, vos revenus seront soumis à la flat tax.

Déclaration en ligne sur impots.gouv.fr

La déclaration des dividendes s'effectue désormais principalement en ligne sur le site impots.gouv.fr via votre espace particulier. Généralement, les montants sont pré-remplis par l'administration fiscale grâce aux informations transmises par les établissements financiers. Toutefois, vous devez vérifier ces données en les comparant à l'Imprimé Fiscal Unique (IFU) fourni par votre banque.

Par ailleurs, pour les dividendes perçus de l'étranger, vous devrez également remplir le formulaire 2047 relatif aux revenus de source étrangère.

Cas de dispense d'acompte selon le revenu fiscal de référence

Vous pouvez être dispensé du prélèvement forfaitaire de 12,8% si votre revenu fiscal de référence de l'avant-dernière année est inférieur à certains seuils :

  • 50 000 € pour une personne seule
  • 75 000 € pour un couple marié ou pacsé[171][173]

Pour bénéficier de cette dispense, vous devez adresser une attestation sur l'honneur à votre établissement financier avant le 30 novembre de l'année précédant celle du versement des dividendes[171][173]. Pour les revenus perçus en 2025, la demande devait donc être formulée avant le 30 novembre 2024[173].

Néanmoins, cette dispense n'est qu'une dispense d'acompte et non d'imposition. Vous restez soumis à la fiscalité des dividendes lors de votre déclaration annuelle, mais évitez simplement l'avance de trésorerie de 12,8%.

Cas particuliers et limites de la fiscalité des dividendes

Au-delà des règles générales, l'imposition dividende présente plusieurs cas particuliers qui méritent une attention particulière. Ces situations spécifiques modifient considérablement les mécanismes de taxation des dividendes que nous avons examinés jusqu'à présent.

Dividendes perçus par une société (personne morale)

Lorsqu'une société perçoit des dividendes, le régime fiscal diffère totalement de celui des personnes physiques. En effet, les sociétés soumises à l'impôt sur les sociétés bénéficient du régime mère-fille si elles détiennent au moins 5% du capital de la filiale distributrice. Dans ce cas, les dividendes sont exonérés à 95%, seule une quote-part de frais et charges de 5% demeure imposable.

Pour les participations inférieures à 5%, les dividendes sont intégralement soumis à l'impôt sur les sociétés au taux de droit commun (25% en 2023).

Par ailleurs, les sociétés bénéficiant du régime des sociétés de personnes (SNC, sociétés civiles, etc.) ne sont pas directement imposées. Ce sont leurs associés qui supportent l'impôt sur les dividendes à titre personnel.

Dividendes fictifs et risques de redressement

Les dividendes fictifs correspondent à des distributions qui ne proviennent pas de bénéfices réellement réalisés par la société. Ainsi, ils exposent à de sérieux risques fiscaux. En outre, l'administration fiscale peut requalifier ces versements en distributions irrégulières, entraînant:

  • Une imposition dans la catégorie des revenus de capitaux mobiliers
  • Une majoration de 40% pour manquement délibéré
  • Des intérêts de retard de 0,20% par mois

Cependant, la fiscalité des dividendes s'applique également aux avantages occultes, comme la mise à disposition gratuite d'un bien de la société ou la prise en charge de dépenses personnelles. Ces avantages sont considérés comme des revenus distribués et soumis au même régime que les dividendes classiques.

Dividendes soumis à cotisations sociales pour les TNS

Pour les travailleurs non-salariés (TNS), notamment les gérants majoritaires de SARL, la taxation des dividendes comporte une spécificité majeure. La part des dividendes qui excède 10% du capital social, des primes d'émission et des sommes versées en compte courant est soumise aux cotisations sociales.

Cette règle a des conséquences importantes sur le taux imposition dividendes effectif pour ces dirigeants. À titre d'exemple, pour un gérant majoritaire recevant 50 000 € de dividendes alors que le capital social est de 10 000 €, 49 000 € seront assujettis aux cotisations sociales (environ 45%), en plus de l'imposition dividende standard.

Il convient donc d'analyser soigneusement la structure de rémunération des dirigeants de TPE/PME pour optimiser la charge fiscale et sociale globale, tout en restant dans le cadre légal.

Comprendre l'imposition dividende pour optimiser votre situation fiscale

Au terme de cet article, vous avez désormais une vision complète de l'imposition des dividendes en France. Effectivement, la fiscalité des dividendes repose sur un système à deux niveaux: d'abord au niveau de la société distributrice, puis au niveau du bénéficiaire.

Le choix entre le prélèvement forfaitaire unique à 30% et le barème progressif de l'impôt sur le revenu avec abattement de 40% s'avère fondamental. En fonction de votre tranche marginale d'imposition, l'une ou l'autre option peut s'avérer plus avantageuse. Par ailleurs, les différentes étapes fiscales - du prélèvement initial de 12,8% à la déclaration finale - doivent être scrupuleusement respectées pour éviter tout risque de redressement.

Néanmoins, certaines catégories de contribuables doivent être particulièrement vigilantes. Ainsi, les travailleurs non-salariés font face à des règles spécifiques concernant l'assujettissement aux cotisations sociales de leurs dividendes au-delà de 10% du capital social. De même, les sociétés bénéficiaires de dividendes profitent de régimes fiscaux distincts selon leur niveau de participation.

La taxation des dividendes reste donc un domaine technique qui mérite une analyse personnalisée selon votre profil d'investisseur ou de dirigeant. Certainement, une consultation avec un expert-comptable ou un conseiller fiscal peut s'avérer judicieuse pour optimiser votre stratégie de distribution ou d'investissement. Finalement, une bonne compréhension de ces mécanismes vous permettra de prendre des décisions éclairées tout en respectant vos obligations fiscales.

Pour un accompagnement plus approfondi et personnalisé, nos équipes de spécialistes se tiennent à vos côtés pour de simples conseils. N'hésitez pas à nous contacter ou à venir dans notre cabinet d'expert comptable à Arpajon.

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Jérôme Benaïnous
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Jérôme Bénaïnous est expert-comptable et commissaire aux comptes diplômé de Paris Dauphine. Il a reçu le Prix du meilleur mémoire d’Expert-comptable d’Île-de-France. Il a exercé en tant que Directeur de mission chez Ernst & Young, un des plus importants cabinets d’audit financier et de conseils, avant de s’installer.
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